Cher M. Klein !
L’année dernière j’avais reçu en cadeau – avec deux
autres biographies de fameux mathématiciens – votre livre sur Attore Majorana.
Manquant de temps satiable a lire, je pus l’aborder seulement quelque jours, en
partant en vacances.
Dès les premières lignes j’étais
saisi. Et encore : en tète du premier chapitre je lis une citation d’Albert Einstein.
« Une part de notre être nous est donné par notre ville natale. » En
ce moment j’étais au bord de l’avion qui m’amenait de Budapest a Varna, ma
ville natale.
La part touchée de mon être en frémit.
Le mystère des mots, ces particules qui véhiculent les émotions, me plongea dans un doux bonheur.
En ouverture à ma relaxation
annuelle j’ai lu à bout ce livre, lecture émue, marquée par de plus en plus
grands mystères : les mystères des rencontres, les mystères de l’être et du
néant, les mystères de Majorana, les mystères du temps, les mystères du savoir
et de la compréhension.
En fermant le livre me vint a
l’esprit la lucide constatation de Balzac: « La lecture est création à
deux. »
Mais voyons, la lecture reste une
jouissance personnelle, l’exploration de la vérité est créations à légion. Et même
ainsi, souvent, comme par exemple dans le cas de Majorana, une solitude
abominable, difficile à surmonter.
Depuis toujours je suis fasciné
par des silhouettes opaques des toutes vérités. La vérité d’une énigme, la
vérité d’un opéra, la vérité d’un amour… Tout cela des bancs scolaires, bancs a
repos, des postes et des repères… sur la grande route… Enfin, dans les
hauteurs, la vérité de la matière, la vérité de l’esprit…
Partout ou je regarde j’entrevois
ces silhouettes et je suis fasciné, je suis inspiré – et sans ouvre, pour
revenir aux mystères de votre livre. Que m’importe œuvre, que m’importe nom,
seul m’importe de partager avec autrui mes fascinantes expériences. Comme par
exemple cette de la vérité du monde physique.
Après la lecture de votre
histoire de la comète Majorana je me sentis obligé d’essayer de nouveau la
communication avec les connaisseurs de la physique moderne. J’en avais fait des
essais, sans rencontrer quiconque effort de compréhension. Bien sur je ne suis pas un physicien, mais « seulement »
un mathématicien théorique « hors usage ».
Ma « théorie » est bien
simple : il n’existe rien qui serait « espace » en soi. L’espace est
un produit de l’intelligence. L’espace « existe »
par exemple a l’instar de la langue. Cette théorie ne se veut pas une nouvelle
édition de cette de l’éther, puisque cette-la
essaie de remplir le vide de l’espace – ce qui n’existe pas et ainsi
n’engendre aucun « vide ». Peut-être
mieux ressemble à ma théorie « la mer de Dirac », dont je n’avais pas
de connaissance jusque ces-jours-là. Aux spécialistes d’un décider.
Ce que je suppose : l’existence
d’une particule-espace qui n’est autre « chose » qu’une « boîte »
– jamais vide! Contrairement, cette boîte à tout instant « contient »
– au moins – un « back up » de l’univers, donc dispose d’une capacité
quasi infinie d’« abriter » d’information.
Est-ce la matière noire « la
mer » de ces particules-espace? Est-elle toute particule élémentaire une construction
spécifique de particules-espace? Je ne peux pas en être sûr et donc je ne veux
pas l’affirmer, mais je le suppose.
Et je suppose encore des séries
d’idées – en réfléchissant sur le pont suspendu de mes modestes connaissances
J’espère qu’en étant un excellent
auteur et vulgarisateur, vous pourrez comprendre mes recherches, ce qui en général
échappe aux « simple » professionnels » de la physique.
Veuillez agréer, cher M. Klein, mes meilleurs sentiments,
Todor Simeonov
Varna, Budapest
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