mardi 1 mai 2018

Travail - fête et révolution

 Aujourd’hui c'est de nouveau e 1er mai ! Une des fêtes les plus belles et les plus importantes de l'année.
Nous avons le droit et la bonne cause de la célébrer, indépendamment du fait que la vie quotidienne suggère le contraire à bien d’égards. Ne nous laissons pas nous tromper. Malgré tous les problèmes sérieux, souvent honteux et scandaleux, l'humanité travaille. Notre vie reste basée sur la connaissance, le travail et la création. Et cette humanité savante, travaillante et créatrice dispose de suffisante compétences et capacités pour résoudre tout problème.
Maintenant cette humanité savante, travaillante et créatrice dispose de presque tout pour s’engager à la plus grande révolution de l'histoire. C'est l'accord du travail et du capital.
Au cours des siècles passés beaucoup ont essayé de percer le mystère de cette l'injustice sociale si persistante, et qui d’amblée s’approfondit irrémédiablement. Il est vite devenu l'opinion dominante que le capitaliste, louant le travail du travailleur, le déjoue, parce qu’il s’appropriât du profit généré par seul le travail vivant. Ainsi fut donne le mot de guerre (des classes) : « Appropriez les appropriants ! »
Cependant, les expériences dans cet esprit, et il y en a toujours en cours, devraient nous rendre très prudents. Les bureaucrates remplaçant les « appropriants » ne sont pas une garantie les injustices sociales anciennes et nouvelles, garantie pour la victoire de la rationalité.
Il faudrait voir et accepter la simple vérité que travail et capital ne peut pas opérer l’un sans l’autre, et cela implique que le fruit de cette co-opération devrait être aussi dument partagé. Le travail n'est pas « coché » en réglant la salaire.
Le travail devrait obtenir sa part du fruit commun de la coopération, c'est-à-dire sa partie proportionnelle du profit. Et ce serait la clé d'une société juste.
Cela devrait être la première tâche de la nouvelle révolution. En paix, avec des arguments, dans un cadre légal.
Ce principe est simple et claire, avec de grandes conséquences positives.
Cependant, il est tout de même clair que ce principe ne peut être appliqué efficacement qu’à l'échelle mondiale, autrement le capital sans nuls scrupules fuira vers des pays où ce principe n'est pas appliqué.
C'est pourquoi nous devons plus que jamais nous exclamer : Hommes et femmes du monde entier, unissez-vous !
Vive le travail !
Vive le 1er Mai !


Mouvement du Monde Changeant 



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