Professeure – Je pense que cette campagne présidentielle de 2017 est sans
précédamt, d’une qualité tout-à-fait nouvelle…
Capitaine – Tu y trouve de la qualité ? Je suis bien surpris…
Maître – Voyons, rien est sans qualité. Seul il faut la connaitre, si
nécessaire la modifier, au moins esseyer. Dis-nous, donc, chère amie, qu’est-ce
que te dérange le plus dans la campagne ?
Professeure – Dans une campagne traditionnelle tout d’abord on perçoit une
multitude bien structurée de sentiements et d’exigeance publiques auxquelles
correspondent d’une façon plus ou moin adéquate une multitude de réponses, de
promesses et de projets regroupés autour de partis plus ou moin traditionnels. Et
on peut argumenter sans grands résultats, mais qui-qui restant dans la sphere de
son rationnel. Maintenant tout se passe superficielement sur des surfaces
médiatique, sinon virtueles... Non, ce n’est pas une dictature médiatique,
aucune nécessité, c’est un orchestration médiatique...
Docteure – Et tu vois en cela la main de qui ou de quoi ? Je suppose
que l’effet dont tu parles est du au développement de la communication, avec
tous ses problèmes, mais aussi avec tout son progrès indéniable.
Professeure – Cela n’est pas une simple question de technique, puisque
cette technique permet a la fois faire parvenir une quantité inouie d’information
à tous, d’autre part d’etouffer oubien purement et simplement falsifier l’information
dans le sens opposé, cette certaine voix du peuple...
Capitaine – Mais cette discussion reste en peu générale quand nous avons
vraiment des énigmes a examiner. Tout d’abort Macron et la fin du PS
hollandais...
Maître – Ce que je redoute, c’est les cinq ans à suivre apres les elections.
Voyez-vous un seul candidat parmi les onze braves, qui pourrait assurer la paix
aux francais ? Surtout les cinq en tete : ils sont tous hypnotisés
sur le saisi du pouvoir et tout-à-fait inconsients de ce qui les attend.
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