Aujourd’hui c'est de nouveau e 1er mai ! Une des fêtes
les plus belles et les plus importantes de l'année.
Nous avons le droit et la bonne cause
de la célébrer, indépendamment du fait que la vie quotidienne suggère le
contraire à bien d’égards. Ne nous laissons pas nous tromper. Malgré tous les
problèmes sérieux, souvent honteux et scandaleux, l'humanité travaille. Notre
vie reste basée sur la connaissance, le travail et la création. Et cette
humanité savante, travaillante et créatrice dispose de suffisante compétences
et capacités pour résoudre tout problème.
Maintenant cette humanité savante,
travaillante et créatrice dispose de presque tout pour s’engager à la plus
grande révolution de l'histoire. C'est l'accord du travail et du capital.
Au cours des siècles passés
beaucoup ont essayé de percer le mystère de cette l'injustice sociale si
persistante, et qui d’amblée s’approfondit irrémédiablement. Il est vite devenu
l'opinion dominante que le capitaliste, louant le travail du travailleur, le
déjoue, parce qu’il s’appropriât du profit généré par seul le travail vivant. Ainsi
fut donne le mot de guerre (des classes) : « Appropriez les appropriants ! »
Cependant, les expériences dans
cet esprit, et il y en a toujours en cours, devraient nous rendre très
prudents. Les bureaucrates remplaçant les « appropriants » ne sont pas une
garantie les injustices sociales anciennes et nouvelles, garantie pour la
victoire de la rationalité.
Il faudrait voir et accepter la
simple vérité que travail et capital ne peut pas opérer l’un sans l’autre, et
cela implique que le fruit de cette co-opération devrait être aussi dument
partagé. Le travail n'est pas « coché » en réglant la salaire.
Le travail devrait obtenir sa
part du fruit commun de la coopération, c'est-à-dire sa partie proportionnelle
du profit. Et ce serait la clé d'une société juste.
Cela devrait être la première
tâche de la nouvelle révolution. En paix, avec des arguments, dans un cadre
légal.
Ce principe est simple et claire,
avec de grandes conséquences positives.
Cependant, il est tout de même clair
que ce principe ne peut être appliqué efficacement qu’à l'échelle mondiale, autrement
le capital sans nuls scrupules fuira vers des pays où ce principe n'est pas appliqué.
C'est pourquoi nous devons plus
que jamais nous exclamer : Hommes et femmes du monde entier, unissez-vous !
Vive le travail !
Vive le 1er Mai !
Mouvement
du Monde Changeant
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