Les législatives en marche

Capitaine – Que pensez-vous, y aura-t-il un seul député à la nouvelle Assemblée, qui ne soit pas en marche ?

Docteure – Mais bien sûr, et il sera M. Emmanuel, pardon M. Manuel, puisque ceux qui sont en marche n’investissent pas condidat contre lui.

Professeure – Belle blague, mais pas inprobable !

Maître – Ce qu’on voit en France, c’est la présence instantanée de deux fronts. L’un bien vieux, mais toujours le plus fort : le front contre Le Front Nationnal. L’autre vien de naitre, et reste plus faible, plus flou, mais pas si faible, et pas si flou. C’est le front anti-Macron, qui est capable de réunir tous ce qui ne sont pas au pas du marche.

Docteure – Grace au ciel, le premier l’emporte, et d’une manière écrasante !

Maître – C’est vrai, pour l’instant, mais dans le seul cas que ce premier front a l’ocasion, l’opportunité de se former. Et c’est ce moment qui doit nous suggérer les résultats. Si dans une circonscription au deusième tour reste un candidat En Marche et un candidat FN, ce dernier sera le maheureux. Donc si dans la majoritée des circonscriptions un candidat macroniste et un candidat FN arrive au deusième tour. En Marche aura sa majorité à l’Assemblée. Dants toute autre situation, donc si on a au deusième tour un marconiste et un non-FN ou trois candidats, le macroniste sera le malheureux.

Capitane – Ce jugement me parait bien convincant... Et alors ? Qui va gagner ?

Maître – Que comrends-tu sous gagner ? Je ne suis pas sur que cela serait une bonne victoire pour Macron de gagner une majorité. Cela le précipiterait sur la pente ou peine et equillibre la France avec sa dette nationnale horrible et ses tensions internes terrifiantes.

Docteure – Seule une grande et stable majorité lui permettra de diriger sans de mauvais compromis, et ainsi sauver la France !

Professeure – Qui vivra, verra ! En tout cas je reste très inquiète... quelques soient les résultats...

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