vendredi 25 novembre 2016

La caste libérale



La caste libérale est un phénomène sans précédant dans l’histoire. Il est peu de dire, qu’il serait peu étudié. Il n’est pas encore identifié et nommé comme tel. En même temps la plupars de ses manifestations sont évidentes, apperçues, souvent scandalisantes, ou au moins profondément divisantes l’opinion publique, et par conséquance vivement discuées et analisées.
Quelles sont les manifestations  les plus connues que l’on peut lier à cette caste libérale ?
Tout d’abort on parle souvent de « L »’élite, en y comprenant avant tout les élites de « l’Occidant » (États-Unis et Europe d’Ouest). On parle encore de « Mainstream » et en particulier de « Mainstream média ». Une autre démarquation centrale : les libéraux et toute sorte de variations, surtout : gauche libérale, etc.   Enfin de plus en plus nombreux – et bruyants – sont ceux qui parlent de « Lobby juif » ou tout simplement des « juifs ».
La caste libérale comprend en soi l’écrasante majorité de la classe moyenne, une grande partie de la classe « supérieure » (grande bougeoisie + « grande élite ») et une certaine minorité de la classe « inférieure » (les pauvres et les mysérables des villes et des villages), concluantes entre eux un discret « compromis historique » (vision des eurocommunistes ?). Selon mes estimation elle représente 30-40 % de la population en Amérique de Nord (USA, Canada), en Europe d’Ouest,  en Israel et en Australie ; 10-20 % en Europe d’Est, en Amérique Latin et en plusieurs pays d’Asie. Elle est présentm aussi dans presque tous les autres pays du monde avec 1-5 %.
Ainsi c’est un corpus important et global, on pourrait dire un nouveau type de nation. Sa naissance date des année 60, et depuis il se produit un développement exceptionnel, qui aquiert son apogée dans les premiers décénies du 21-e siècle.
L’importance historique de la caste libérale n’est pas dans son nombre, en somme elle représente 10% de la population mondiale, mais dans ses capacités excepcionnelles et dans la richesse jamais vue dont elle dispose.
Donc bien connaitre et bien comprendre le caractère et le fonctionnement de ce phénomène serait crucial pour l’avenir de l’humanité.
Peut-être toute angoisse est superflue. Peut-être c’est exactement elle qui agit en sauveur du monde, qui est la seule garantie pour l’avenir de tous. Comme d’aillers beaucoup de ses représentants l’affirment.
Nous avons bonnes raisons d’en douter, mais il serait une grande faute de démoniser la caste libérale. Ce qui importe : de s’engager dans une étude critique avec tout le courage du pour cela. On doit s’attendre à des ripostes sans merci de la part de ses adeptes tout autant comme de la part de ses ennemies.

* * *

mardi 22 novembre 2016

En cherchant Majorana - vidéo


En cherchant Majorana: Le physicien absolu

Le mystère de l'espace



Cher M. Klein !

L’année dernière j’avais reçu en cadeau – avec deux autres biographies de fameux mathématiciens – votre livre sur Attore Majorana. Manquant de temps satiable a lire, je pus l’aborder seulement quelque jours, en partant en vacances.
Dès les premières lignes j’étais saisi. Et encore : en tète du premier chapitre je lis une citation d’Albert Einstein. « Une part de notre être nous est donné par notre ville natale.  » En ce moment j’étais au bord de l’avion qui m’amenait de Budapest a Varna, ma ville natale.
La part touchée de mon être en frémit. Le mystère des mots, ces particules qui véhiculent les émotions,  me plongea dans un doux bonheur.
En ouverture à ma relaxation annuelle j’ai lu à bout ce livre, lecture émue, marquée par de plus en plus grands mystères : les mystères des rencontres, les mystères de l’être et du néant, les mystères de Majorana, les mystères du temps, les mystères du savoir et de la compréhension.
En fermant le livre me vint a l’esprit la lucide constatation de Balzac: « La lecture est création à deux.  »
Mais voyons, la lecture reste une jouissance personnelle, l’exploration de la vérité est créations à légion. Et même ainsi, souvent, comme par exemple dans le cas de Majorana, une solitude abominable, difficile à surmonter.
Depuis toujours je suis fasciné par des silhouettes opaques des toutes vérités. La vérité d’une énigme, la vérité d’un opéra, la vérité d’un amour… Tout cela des bancs scolaires, bancs a repos, des postes et des repères… sur la grande route… Enfin, dans les hauteurs, la vérité de la matière, la vérité de l’esprit…
Partout ou je regarde j’entrevois ces silhouettes et je suis fasciné, je suis inspiré – et sans ouvre, pour revenir aux mystères de votre livre. Que m’importe œuvre, que m’importe nom, seul m’importe de partager avec autrui mes fascinantes expériences. Comme par exemple cette de la vérité du monde physique.
Après la lecture de votre histoire de la comète Majorana je me sentis obligé d’essayer de nouveau la communication avec les connaisseurs de la physique moderne. J’en avais fait des essais, sans rencontrer quiconque effort de compréhension.  Bien sur je ne suis pas un physicien, mais « seulement » un mathématicien théorique « hors usage ».
Ma « théorie » est bien simple : il n’existe rien qui serait « espace » en soi. L’espace est un produit de l’intelligence.  L’espace « existe » par exemple a l’instar de la langue. Cette théorie ne se veut pas une nouvelle édition de cette de l’éther, puisque cette-la  essaie de remplir le vide de l’espace – ce qui n’existe pas et ainsi n’engendre aucun « vide ».  Peut-être mieux ressemble à ma théorie « la mer de Dirac », dont je n’avais pas de connaissance jusque ces-jours-là. Aux spécialistes d’un décider.
Ce que je suppose : l’existence d’une particule-espace qui n’est autre « chose » qu’une « boîte » – jamais vide! Contrairement, cette boîte à  tout instant « contient » – au moins – un « back up » de l’univers, donc dispose d’une capacité quasi infinie d’« abriter » d’information.
Est-ce la matière noire « la mer » de ces particules-espace? Est-elle toute particule élémentaire une construction spécifique de particules-espace? Je ne peux pas en être sûr et donc je ne veux pas l’affirmer, mais je le suppose.
Et je suppose encore des séries d’idées – en réfléchissant sur le pont suspendu de mes modestes connaissances
J’espère qu’en étant un excellent auteur et vulgarisateur, vous pourrez comprendre mes recherches, ce qui en général échappe aux « simple » professionnels » de la physique.

Veuillez agréer, cher M. Klein, mes meilleurs sentiments,
Todor Simeonov
Varna, Budapest