mardi 27 décembre 2016

L’impasse appelée GSM



Quel besoin des services GSM dans notre monde de l’internet ?
Aucun ! Aucun ! Aucun !
Le seul service de ces services est de produire un profit phénoménal pour les serviteurs, dits opérateurs engagés dans cette industrie.
Pensez-y : dans tous les pays du monde il y a deux ou trois réseaux parallèles, qui de plus produisent un smog électronique, sans parler des danger de l’utilisation du téléphone. Et tout cela bien payé par le cosommateur, au lieu d’utiliser la communication gratuite par internet.
Effet de la situation « le roi est nu » ?
Pire !
Le consommateur est, pardon, idiot...
Mais le pouvoir public ? Le savoir public ? L’opinion public ?
Réfléchissez, s’il vous plait !


* * *

vendredi 25 novembre 2016

La caste libérale



La caste libérale est un phénomène sans précédant dans l’histoire. Il est peu de dire, qu’il serait peu étudié. Il n’est pas encore identifié et nommé comme tel. En même temps la plupars de ses manifestations sont évidentes, apperçues, souvent scandalisantes, ou au moins profondément divisantes l’opinion publique, et par conséquance vivement discuées et analisées.
Quelles sont les manifestations  les plus connues que l’on peut lier à cette caste libérale ?
Tout d’abort on parle souvent de « L »’élite, en y comprenant avant tout les élites de « l’Occidant » (États-Unis et Europe d’Ouest). On parle encore de « Mainstream » et en particulier de « Mainstream média ». Une autre démarquation centrale : les libéraux et toute sorte de variations, surtout : gauche libérale, etc.   Enfin de plus en plus nombreux – et bruyants – sont ceux qui parlent de « Lobby juif » ou tout simplement des « juifs ».
La caste libérale comprend en soi l’écrasante majorité de la classe moyenne, une grande partie de la classe « supérieure » (grande bougeoisie + « grande élite ») et une certaine minorité de la classe « inférieure » (les pauvres et les mysérables des villes et des villages), concluantes entre eux un discret « compromis historique » (vision des eurocommunistes ?). Selon mes estimation elle représente 30-40 % de la population en Amérique de Nord (USA, Canada), en Europe d’Ouest,  en Israel et en Australie ; 10-20 % en Europe d’Est, en Amérique Latin et en plusieurs pays d’Asie. Elle est présentm aussi dans presque tous les autres pays du monde avec 1-5 %.
Ainsi c’est un corpus important et global, on pourrait dire un nouveau type de nation. Sa naissance date des année 60, et depuis il se produit un développement exceptionnel, qui aquiert son apogée dans les premiers décénies du 21-e siècle.
L’importance historique de la caste libérale n’est pas dans son nombre, en somme elle représente 10% de la population mondiale, mais dans ses capacités excepcionnelles et dans la richesse jamais vue dont elle dispose.
Donc bien connaitre et bien comprendre le caractère et le fonctionnement de ce phénomène serait crucial pour l’avenir de l’humanité.
Peut-être toute angoisse est superflue. Peut-être c’est exactement elle qui agit en sauveur du monde, qui est la seule garantie pour l’avenir de tous. Comme d’aillers beaucoup de ses représentants l’affirment.
Nous avons bonnes raisons d’en douter, mais il serait une grande faute de démoniser la caste libérale. Ce qui importe : de s’engager dans une étude critique avec tout le courage du pour cela. On doit s’attendre à des ripostes sans merci de la part de ses adeptes tout autant comme de la part de ses ennemies.

* * *

mardi 22 novembre 2016

En cherchant Majorana - vidéo


En cherchant Majorana: Le physicien absolu

Le mystère de l'espace



Cher M. Klein !

L’année dernière j’avais reçu en cadeau – avec deux autres biographies de fameux mathématiciens – votre livre sur Attore Majorana. Manquant de temps satiable a lire, je pus l’aborder seulement quelque jours, en partant en vacances.
Dès les premières lignes j’étais saisi. Et encore : en tète du premier chapitre je lis une citation d’Albert Einstein. « Une part de notre être nous est donné par notre ville natale.  » En ce moment j’étais au bord de l’avion qui m’amenait de Budapest a Varna, ma ville natale.
La part touchée de mon être en frémit. Le mystère des mots, ces particules qui véhiculent les émotions,  me plongea dans un doux bonheur.
En ouverture à ma relaxation annuelle j’ai lu à bout ce livre, lecture émue, marquée par de plus en plus grands mystères : les mystères des rencontres, les mystères de l’être et du néant, les mystères de Majorana, les mystères du temps, les mystères du savoir et de la compréhension.
En fermant le livre me vint a l’esprit la lucide constatation de Balzac: « La lecture est création à deux.  »
Mais voyons, la lecture reste une jouissance personnelle, l’exploration de la vérité est créations à légion. Et même ainsi, souvent, comme par exemple dans le cas de Majorana, une solitude abominable, difficile à surmonter.
Depuis toujours je suis fasciné par des silhouettes opaques des toutes vérités. La vérité d’une énigme, la vérité d’un opéra, la vérité d’un amour… Tout cela des bancs scolaires, bancs a repos, des postes et des repères… sur la grande route… Enfin, dans les hauteurs, la vérité de la matière, la vérité de l’esprit…
Partout ou je regarde j’entrevois ces silhouettes et je suis fasciné, je suis inspiré – et sans ouvre, pour revenir aux mystères de votre livre. Que m’importe œuvre, que m’importe nom, seul m’importe de partager avec autrui mes fascinantes expériences. Comme par exemple cette de la vérité du monde physique.
Après la lecture de votre histoire de la comète Majorana je me sentis obligé d’essayer de nouveau la communication avec les connaisseurs de la physique moderne. J’en avais fait des essais, sans rencontrer quiconque effort de compréhension.  Bien sur je ne suis pas un physicien, mais « seulement » un mathématicien théorique « hors usage ».
Ma « théorie » est bien simple : il n’existe rien qui serait « espace » en soi. L’espace est un produit de l’intelligence.  L’espace « existe » par exemple a l’instar de la langue. Cette théorie ne se veut pas une nouvelle édition de cette de l’éther, puisque cette-la  essaie de remplir le vide de l’espace – ce qui n’existe pas et ainsi n’engendre aucun « vide ».  Peut-être mieux ressemble à ma théorie « la mer de Dirac », dont je n’avais pas de connaissance jusque ces-jours-là. Aux spécialistes d’un décider.
Ce que je suppose : l’existence d’une particule-espace qui n’est autre « chose » qu’une « boîte » – jamais vide! Contrairement, cette boîte à  tout instant « contient » – au moins – un « back up » de l’univers, donc dispose d’une capacité quasi infinie d’« abriter » d’information.
Est-ce la matière noire « la mer » de ces particules-espace? Est-elle toute particule élémentaire une construction spécifique de particules-espace? Je ne peux pas en être sûr et donc je ne veux pas l’affirmer, mais je le suppose.
Et je suppose encore des séries d’idées – en réfléchissant sur le pont suspendu de mes modestes connaissances
J’espère qu’en étant un excellent auteur et vulgarisateur, vous pourrez comprendre mes recherches, ce qui en général échappe aux « simple » professionnels » de la physique.

Veuillez agréer, cher M. Klein, mes meilleurs sentiments,
Todor Simeonov
Varna, Budapest

lundi 31 octobre 2016

Un pasteur révolutionnaire

À Chicago, un pasteur révolutionnaire défend les Afro-Américains défavorisés

  • Par 
  •  
  • Publié 



L'activisme du père Pfleger remonte à l'époque où, adolescent, il a vu Martin Luther King se faire agresser par des Blancs dans le quartier où il a grandi.

#EUROPEGOESUS - Pasteur blanc dans un quartier peuplé à 90 % d'Afro-Américains, le père Pfleger s'inquiète des conséquences de la campagne de Donald Trump sur la société. «Si rien n'est fait, on assistera à des émeutes raciales dans les cinq prochaines années», prédit-il.


South Side Chicago (Illinois)
Les flèches de l'église Sainte-Sabine se dressent fièrement dans le quartier de South Side, où la population est composée à 90 % d'Afro-Américains. La violence quotidienne, les affrontements entre gangs, la dépendance à la drogue, l'analphabétisme et le chômage sont le lot de cette communauté, l'une des plus défavorisées de Chicago. Son guide spirituel est un pasteur blanc, aussi énergique qu'ironique. Une personnalité controversée... Militant de la première heure pour les droits civiques, il s'est engagé à l'époque où, adolescent, il a vuMartin Luther King se faire agresser par des Blancs dans le quartier où il a grandi. Le père Michael Pfleger est toujours resté fidèle à ses principes, ce qui lui a valu de recevoir des menaces et d'être exclu des sphères d'influence de la ville. Mais il est devenu une sorte d'icône de la lutte contre la violence, fléau des rues de Chicago.

Sur une vitre de l'église Sainte-Sabine, le signe «peace and love» accompagne le message «les enfants ont le droit de grandir».

Spike Lee a même fait appel à John Cusack pour l'incarner dans son film sur Chicago Chi-Raq. Dans son bureau, les murs sont couverts de photos représentant les plus grands défenseurs des droits civiques et de la culture afro-américaine comme Jesse Jackson, Coretta Scott King ou encore Desmond Tutu. Sous la photo de Martin Luther King se trouve celle du KO infligé par Cassius Clay à Sonny Liston (Barack Obama avait la même dans son bureau de sénateur). Il faut dire que le père Pfleger est un combattant. Imaginez un Blanc qui a réussi à faire oublier sa couleur de peau à ses ouailles et qui prêche comme un pasteur noir, avec un style énergique et des sermons qui marquent l'assistance. Une vie de lutte et de dénonciation de l'injustice qui inspire le respect.
Le père Pfleger nous explique son action, qui est double. Aider d'abord, avec des écoles, des formations pour adultes, des logements pour les sans-abris, des repas chauds, des vêtements et des cures de désintoxication. Agir ensuite, grâce au militantisme: lutte contre la vente d'objets servant à consommer de la drogue, contre les publicités sur l'alcool et le tabac et contrôle de la qualité de la nourriture vendue dans les magasins. Mais le pasteur cherche avant tout à inclure tout le monde dans son action, que ce soit les gangs, dont il a appris le langage et les codes, ou les prostituées. Et toujours dans le respect strict de la loi. Aujourd'hui, sa priorité est d'expliquer aux gens comment voter. Ainsi, pour pouvoir glisser son bulletin dans l'urne, il faut être enregistré.
Comment voyez-vous cette campagne électorale?
Il est essentiel que les gens aillent voter. Je ne leur dis jamais pour qui voter, ce serait une insulte. Mais je critique beaucoup Trump qui exprime ce qu'il y a de pire dans ce pays. La population est déçue par le gouvernement, et je le suis aussi, mais nous ne devons pas laisser notre frustration nous exclure du processus politique. Pour les primaires, j'ai soutenu Bernie Sanders, mais ce n'est pas lui qui brigue la présidence.


Si Hillary Clinton est élue, que se passera-t-il?
Nous avons commis une grande erreur en 2008: nous avons lutté pour faire élire Obama, puis nous avons attendu qu'il agisse. Nous ne devons pas relâcher la pression, même après les élections. Ce qui me préoccupe aussi, ce sont ces gens à qui Trump a donné la parole. Ils ne vont pas disparaître après le vote. Il y a, chez les Blancs, cette idée diffuse qui voudrait que Trump soit leur dernière chance de reprendre le pouvoir aux États-Unis. Et cela me terrifie. Si rien n'est fait, on assistera à des émeutes raciales dans les cinq prochaines années. Les jeunes générations n'accepteront pas de subir ce que leurs parents ont subi. Grâce au ciel.
Et l'Église?
L'Église a abandonné l'Amérique, les pauvres et les laissés-pour-compte. Elle s'est laissé tenter par l'argent. Cependant, le Pape me plaît beaucoup car il a remis les pauvres au premier plan. Mais de nombreux évêques n'aiment pas son discours. J'espère qu'il vivra assez longtemps pour nommer des personnes qui mettent sa vision en application. Car, aujourd'hui, ce n'est pas le cas.
Le père Pfleger se lève. Sous la table son chien, un cocker, s'anime. Et son nom est... Justice.

Source: http://www.lefigaro.fr/elections-americaines/2016/10/31/01040-20161031ARTFIG00125--chicago-un-pasteur-revolutionnaire-defend-les-afro-americains-defavorises.php

* * *

samedi 29 octobre 2016

La connaissance

« Consacre ton coeur à la connaissance et aime-la comme une mère. Car rien n’est aussi précieux que la connaissance… Seul l’homme instruit est maître de lui-même. » conseillait un père égyptien à son fils [il y a 3500 ans].

Mentionné dans « Une histoire du peuple juif » de Chaïm Potok – 1996




* * *

dimanche 9 octobre 2016

L'homme parfait

L'homme parfait est sans moi, l'homme inspiré est sans oeuvre ; l'homme saint ne laisse pas de nom.



Kia-hway Liou (Autre)

ISBN : 2070705293 
Éditeur : GALLIMARD (1985)




jeudi 14 juillet 2016

Ah ! ça ira, ça ira !

Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Le peuple en ce jour sans cesse répète,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Malgré les mutins tout réussira.
Nos ennemis confus en restent là
Et nous allons chanter « Alléluia ! »
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Quand Boileau jadis du clergé parla
Comme un prophète il a prédit cela.
En chantant ma chansonnette
Avec plaisir on dira :
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Suivant les maximes de l’évangile
Du législateur tout s’accomplira.
Celui qui s’élève on l’abaissera
Celui qui s’abaisse on l’élèvera.
Le vrai catéchisme nous instruira
Et l’affreux fanatisme s’éteindra.
Pour être à la loi docile
Tout Français s’exercera.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Pierrette et Margot chantent la guinguette
Réjouissons-nous, le bon temps viendra !
Le peuple français jadis à quia,
L’aristocrate dit : « Mea culpa ! »
Le clergé regrette le bien qu'il a,
Par justice, la nation l’aura.
Par le prudent Lafayette,
Tout le monde s’apaisera.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Par les flambeaux de l’auguste assemblée,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Le peuple armé toujours se gardera.
Le vrai d'avec le faux l’on connaîtra,
Le citoyen pour le bien soutiendra.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Quand l’aristocrate protestera,
Le bon citoyen au nez lui rira,
Sans avoir l’âme troublée,
Toujours le plus fort sera.
Petits comme grands sont soldats dans l’âme,
Pendant la guerre aucun ne trahira.
Avec cœur tout bon Français combattra,
S’il voit du louche, hardiment parlera.
Lafayette dit : « Vienne qui voudra ! »
Sans craindre ni feu, ni flamme,
Le Français toujours vaincra !
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates à la lanterne,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates on les pendra !
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates à la lanterne.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates on les pendra.
Si on n’ les pend pas
On les rompra
Si on n’ les rompt pas
On les brûlera.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Nous n’avions plus ni nobles, ni prêtres,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
L’égalité partout régnera.
L’esclave autrichien le suivra,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Et leur infernale clique
Au diable s’envolera.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Les aristocrates à la lanterne ;
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Les aristocrates on les pendra ;
Et quand on les aura tous pendus,
On leur fichera la paille au c...,
Imbibée de pétrole, vive le son, vive le son,
Imbibée de pétrole, vive le son du canon.